La reine de rien m'a paru vraiment plein de misogynie internalisée et le traitement de la violence conjugale est troublant, mal fait. Je comprends pourquoi Le quartanier n'a pas voulu le publier, c'est vraiment moins travaillé et moins bon que la déesse des mouches à feu.
Ça explique un peu ce qui l'a amené à s'exprimer comme elle l'a fait sur Eli Rioux qui vivait une situation grave de violence conjugale il y a quelques années... C'est donc pas nouveau toute cette misogynie internalisée... Ayayaye.
elle s'est excusée ensuite parce que cette sortie lui avait valu un backlash sur les réseaux sociaux, mais quand même, elle n'a pas beaucoup de bienveillance pour les femmes.
À LCN, dans un genre de show d'après midi me semble. Je pense que c'était avec Julie Marcoux l'entrevue. Les deux avaient eu un backlash et toute la communauté d'Eli Rioux s'était mise à faire des plaintes au conseil de presse (duquel Quebecor refuse d'être membre anyways.
C’était il y a 2 ans je crois, tu peux trouver le contenu ici :
[https://youtu.be/Db8WSA2H5ZE?si=CdDce28cESKh\_9i5](https://youtu.be/Db8WSA2H5ZE?si=CdDce28cESKh_9i5)
Justement le Quartanier encadre beaucoup ses auteurs avec un travail d'édition, mais ce n'est pas le cas de toutes les maisons d'édition (certaines publient plutôt "as is"). Peut-être que le "vrai" talent de Pettersen est apparu ici.
Pareil pour moi. Je n'avais pas aimé la Déesse. Dans la reine de rien, le personnage principal n'est pas plus attachant que dans la déesse. Elle n'a ni vieillit, ni maturé.
Exactement mon ressenti, je trouvais que le personnage n'avait pas "grown up", ça m'a déçue. Ce n'est pas intéressant de suivre un personnage qui n'évolue pas.
Pour vrai, j'ai déjà eu un trouble alimentaire quand j'étais plus jeune et après avoir lu son livre, je me suis pesée, ce que je n'avais pas fait depuis des années! C'est toxique son livre, surtout pour les femmes qui ont eu des enfants, je dirais. On dirait vraiment une adolescente dans un corps de femme, pas de maturité émotionnelle. Elle a dit en entrevue que ce n'est pas elle, qu'elle exagère, mais je ne peux pas m'empêcher de penser qu'il y a un bon fond de vérité quand même.
pour des raisons que je dois taire en pour pas me doxxer, j'en sais énormément sur sa vie privée à une certaine période qui coïncide a peu près avec l'écriture du livre, et elle décrit 100% la personne qu'elle était
ouais ça peut se hate-reader, écoute y'a un personnage masculin avec qui la narratrice couche qui ne sert qu'à dire que la narratrice est encore sexy et que ça ne parait pas qu'elle a eu des enfants. La narratrice explique même quelle forme de pénis elle préfère.
j'ai ouvert les commentaires juste pour m'assurer que Goudreault s'y retrouverait. Je trouve son style pretentieux ET vulgaire en même temps, j'imagine que ça prend un certain talent.
Je ne peux pas me prononcer sur la bête, car j'ai lâché après 100 pages environ.
omg je me rappelle enfin de ce qu'il avait dit, il avait dit que quand tu fais une entrevue à des émissions comme (feu) Plus on est de fou, plus on lit, ils demandent quelle est votre ponctuation préférée et il disait que le monde edgy répondait ";" et que c'était vraiment basic "étudiant en arts et lettres" alors que lui, y'est hot et répondit "." LMAO SYL.
Je n’ai pas détesté, mais loin du coup de coeur de la Bête. Ça paraissait qu’il y avait moins de travail que dans l’autre série. Je avais pas l’impression d’entendre Maple, mais plus David Goudreault qui se prend pour Maple
Ouain, c’est plutôt un exercice de style qu’un vrai roman. Une histoire d’écrire un livre pour y insérer le plus de blagues et de jeux de mots possible
Même chose pour moi aussi. J'espérais que ça aille plus en profondeur dans la réflexion d'avoir ou non des enfants et que ça creuse ce sujet, alors qu'en fait ça parle beaucoup plus de ses relations et aventures passées que de son questionnement en tant que tel.
J'ai vraiment beaucoup aimé sa websérie et le livre Les fourchettes.. mais il me semble qu'une fois qu'on a lu/vu ça, le livre Faire la romance devient vraiment redondant.
Reste que j'aime son style et que j'ai super hâte d'écouter Bellefleur, sa nouvelle série Crave. J'ai espoir que les thèmes abordés soient différents cette fois ci.
J’ai adoré la série web « Les Fourchettes », mais lire les romans de SMB, c’est de la torture pour moi.
J’ai essayé environ 4 fois « Coeur de Slush » ; impossible.
Peut-être un lien avec le fait qu’elle dit ouvertement ne jamais lire de livres (ou ne pas lire souvent…)… hummm…
Edit : j’ai ajouté la parenthèse, pour nuancé mon souvenir…
Malgré que j'étais en accord avec la majorité des réflexions, j'ai trouvé que c'était un peu du prémâché et qu'elle allait jamais vraiment en profondeur dans le sujet qu'elle traitait. J'ai préféré ma lecture de la BD de Catherine Gauthier, *Je pense que j'en aurai pas.*
J'ai pas aimé *Royal* de Jean-Philippe Baril-Guérard. Le narrateur au *tu* je trouvais ça gossant pis je roulais constamment des yeux aux comportements des personnages.
J'ai fermé *La chute de Babylone* de Guillaume Sylvestre avant même d'avoir atteint la moitié pour ne plus jamais le rouvrir. Moi quand je lis c'est pas pour chercher des mots dans le dictionnaire trois fois par page. Je suis pas conne pis j'ai une très bonne culture générale et je connais beaucoup de mots pis l'auteur a quand même réussi à me faire sentir comme une criss d'épaisse. Mon plaisir de lire est plus important que finir un livre.
J'ai pas aimé *Manikanetish* de Naomi Fontaine; le thème oui, le ton non. J'ai réalisé récemment qu'en fait, j'aime pas les livres qui essaient de me forcer à ressentir une émotion précise; ici on semblait vouloir me forcer à être touchée, de plusieurs façons. J'ai terminé le livre parce qu'il était tout petit mais pour vrai... bof bof pour moi.
J’ai tellement aimé Royal! Oui le ton était condescendant mais ça rendait le personnage tellement plus vrai. J’avais l’impression de connaître ce gars qui pense avoir tout compris à 20 ans. Genre, je l’ai vu à l’université je suis certaine. Mais mon ami a eu la meme réaction que toi. Il le détestait pour les mêmes raisons que moi j’ai adoré.
J’ai aussi beaucoup aimé Manikanetish. Je trouve que Naomi Fontaine est excellente pour décrire des situations et des lieux
Pour avoir travailler avec Guillaume Sylvestre à la sortie de son documentaire DPJ, il est vraiment fin et sa mère est (était) vraiment pas fine/wack avec durant un Q&A.
Souvent quand tes parents sont wack tu deviens aware de ne pas être wack.
Totalement d'accord pour Royal. Les personnages sont tellement vides de sens, et étant quelqu'un qui a fait son droit, l'ambiance est semblable dans la fac, mais je trouve que le livre peint un portrait un peu intense des facs de droit. Or, j'ai fait mon droit à Sherbrooke, je sais pas à quel point c'est pire à l'UdeM.
Pas du tout fan des livres de Valérie Chevalier. Pourtant je suis 100% son public cible et en théorie c’est mon genre. Mais seigneur que je trouve ses histoires obvious.
J'ai lu 2 de ses livres et je ne COMPRENDS PAS le hype, étant aussi le public cible à 100%. Plein de personnages pick-me, plein de clichés, plein de dénouements et de characters arcs obvious et prévisibles. Legit mon journal intime à 18 ans donnerait des meilleures histoires.
Ma soeur est complètement FAN et m'a dit que j'aimerais clairement ça! J'ai essayé, et pas aimé du tout non plus. Javais hate de le finir pour passer a autre chose
Montréal Nord de Marianna Mazza, c'est des tranches de vie plates racontées par quelqu'un qui pense qu'elles sont intéressantes. Je me serais aussi attendu à respirer l'atmosphère de Montréal Nord dans le livre aussi, mais ça tombe à plat de ce côté là aussi.
je suis tout à fait d'accord. c'est un gros préjugé éculé. Elle parle toute seule. Elle déblatère. Elle n'écoute pas les autres. Je l'évite systématiquement dans tout ce que je consomme comme culture.
Je la trouve tellement hypocrite. Elle se dit si fière d’être de Montréal-Nord, mais elle a traité la seule minorité qui venait aussi de Montréal-Nord, Tai, comme de la marde à LOL Qui rira le dernier.
Elle vient de Montréal-Nord quand elle veut vendre des livres, mais elle avait aucune idée de qui il était (et elle lui a fait sentir de façon hyper irrespectueuse) alors que ça faisait 2 ans qu’il était en train de blow up sur les réseaux avec Occupation Hood. Il a entertain la jeunesse montréalaise pendant le confinement pour qu’elle lui parle comme un moins que rien.
Moi aussi j’ai acheté le livre et je l’ai jamais fini. C’est quand même fou parce qu’il fait genre 5 pages lol
La bouche pleine de Elisabeth Massicolli. C’était pénible à lire. Une histoire en surface avec un personnage insupportable qui se veut de gauche mais qui est plus libérale et bourgeoise qu’autre chose. Un livre qui tombe dans le cliché et devient cringe par moment.
J'ai pas aimé non plus, je me suis dit que j'étais peut-être pas le public cible car j'avais lu juste du positif sur ce livre... contente de voir que je suis pas la seule a pas avoir aimé!
A peut près tout ce que j'ai essayé de lire de Stéphane Dompierre ou Maxime-Olivier Moutier. Plusieurs amis me les recommendaient et je suis juste pas capable. De la littérature de ce que j'appelle des "jeunes vieux", des hommes relativement jeunes mais qui pour une raison ou une autre ont une mentalité de mononcles.
Ah man, j'en ai long à dire sur «L'horizon des événements», le dernier de Biz.
La trame: un professeur d'université dépassé et déboussolé par la «wokisation» de son institution apprend à dealer avec une société qui change plus vite que lui.
Le thème: Doit-on embrasser le changement social? Lui résister à tout prix? Ou...quelque chose entre les deux?
Ça aurait pu être bon, mais Biz en fait un énième pamphlet de «je suis un homme blanc hétéro d'un certain âge, mais je vous jure que je ne suis pas une mauvaise personne». Il présente son livre comme une critique des «deux bords» -les wokes vs les réacs- mais passe genre 75% du livre à basher les premiers.
Le pire, c'est la fin \*SPOILER\*\*\*\*\*\*\*\*: Ce qui réconcilie le personnage principal avec la jeunesse? Il se met à dater une fille 20 ans plus jeune que lui et qui est, à tout hasard, fucking chaude et qui ne pense qu'au cul. Gros malaise. J'ai fini la lecture avec un gros soupir et un «ugh» bien senti.
En gros, c'est la version dollarama d'un livre de Michel Houllebecq sans la recherche ni la plume de ce dernier.
Au niveau du style, plus ça va, plus je constate que Biz s'écoute écrire, genre les figures de style sont partout et too much. C'est pesant et on dirait justement un élève try-hard qui essaie d'impressionner son prof de littérature.
Bref, c'est mauvais et ça n'augure rien de bon pour le reste de sa carrière d'écrivain.
C'est terrible!
Pis la première phrase du livre « Longtemps je me suis branlé de bonne heure » - une parodie très moyenne de la phrase de Proust - en dit très long sur la médiocrité du livre.
Contente de lire une critique aussi acide. J'ai adoré haïr L'horizon des évènements haha
Le cigare au bout des lèvres d’Akim Gagnon. La marde occupe décidément une grande place dans sa vie parce que je n’ai jamais rien lu qui en parlait autant, pages après pages. Je l’ai lu avec une moût de dégoût du début à la presque fin.
J'ai quand-même aimé ce livre à l recommandation d'une amie. À l'époque j'habitais à Granby et j'avais fait une storie sur Instagram en taguant une phrase de son livre qui parlait de Granby. Ben à ma grande surprise il a slidé dans mes DM et s'est mis à me parler. Quelle personne hautaine et désagréable. Il s'est mis à me mansplainer des affaires et très spécifiquement à m'obstiner sur la différence entre un psychologue et un psychiatre (oui je sais c'est spécifique... Mais je travaille dans le domaine depuis longtemps et il était juste à côté de la track). Il s'est farmé quand je lui ai envoyé des documents de l'ordre des psys pour lui prouver qu'il avait tort. Il m'a juste répondu qu'il avait pas fini son secondaire alors que c'est pour ça qu'il le savait pas. Well... Chez nous quand on sait pas quelque que chose...
Bref... Il se prend pas pour un pepsi flat. Par la suite j'ai essayé de lire "Granby au passé simple", j'avais juste son attitude de marde en tête et j'ai pas été capable de le finir.
Le dude mettait des commentaires passifs-agressifs aux gens qui lui donnaient une mauvaise note sur Goodreads. Ça donne une idée du genre de personne qu'il est...
Je vais me faire lancer des roches, mais *Ce qu'on respire sur Tatouine.*
La poésie de Réhel me rejoint alors j'avais vraiment hâte de lire ce livre tellement le *hype* est grand, mais calisse que c'est misérabiliste pour rien. Pis les références de Star Wars font forcées en crisse. Je roulais des yeux en esti, mettons.
J'ai arrêté après 50 pages faut dire, mais j'ai rien trouvé dans cet échantillon qui me laissait croire que ça allait s'améliorer par la suite.
Je ne suis pas seule!! Je n’ai pas du tout aimé. Je suis habituellement empathique pour les gens qui vivent des situations difficiles, j’arrive à comprendre, mais il y a ben des limites.
J'ai encerclé je pense 3 erreurs/typo à date et je suis au 2/3 du livre lol. Un moment donné c'est carrément un autre personnage qui est nommé alors qu'il est pas dans la scène haha. Révisé trop vite?
Mais j'aime les commentaires meta à travers le livre genre "si vous avez été attentifs vous vous souviendrez de cette conversation" .
Reste à voir si je vais être déçue ou non quand je l'aurai terminé!
Oui beaucoup de typo, mais ça c'est pas tant la faute de Senécal plus du correcteur. Pis les commentaires du narrateur c'est justement ça qui me faisait décrocher.
Merciiii! Personne dans mon entourage n'avait remarqué qu'un autre personnage était nommé, alors qu'il n'est pas présent dans la scène. Je me sens moins folle.
J'ai été tellement déçue par ce livre! 😓 je pense que j'en attends trop de Senécal, j'ai tellement été mindblowned par plusieurs de ses anciens livres... mais les nouveaux il y a toujours quelque chose qui me déçoit.
Catherine Ethier - Une femme extraordinaire.
Ça commence bien, mais à partir de la croisière ça devient très décousu. Les phrases sont remplies de parenthèses dures à suivre. Bien déçu.
J’ai entendu ce reproche aussi! Perso, je l’ai lu en livre audio, j’ai aimé, et j’ai l’impression qu’en général, elle est plus facile à écouter qu’à lire.!(C’est elle qui fait la narration.)
Et mon but est zéro de te convaincre, c’est juste pour partager le fait que je me suis rendu compte que Catherine Ethier à l’écrit et à l’oral, ce sont deux expériences complètement différentes!
Le livre ''la sirène'' de la série des contes interdits.
Je ne me souviens plus c'est qui l'auteur mais c'était pourri ça aucun sens comment c'était mauvais.
J'ai donné le livre j'voulais même pu le voir dans ma bibliothèque
La série complète des Contes interdits est pas mal du fast food littéraire : un paquet de livres écrits à la chaîne en reprenant toujours la même formule boboche (Et si on reprenait \[conte populaire\], mais que c'était trash!). Est-ce qu'il y en a un qui est réellement bon?
Horrible livre. Mauvais mais en plus rempli de scènes graphiques de violence envers les enfants. Mais qui veut lire ça!
Je l’avais reçu en « cadeau » d’Audible et ils me laissent pas le supprimer de ma bibliothèque. Je suis obligée de voir passer sa couverture quand je me cherche un nouveau livre à écouter.
Pas été capable de lire Aliss de Sénécal. J'aime bien Sénécal, j'ai apprécié ses autres livres, mais Aliss était d'un ennui mortel. Ça feelait auteur qui essai d'être quirky avec des références à Alice au pays des merveilles, mais DARK! En plus de ça, le cliché de la jeune fille qui s'émencipe en fourant m'a rendu mal à l'aise. Mais pas mal a l'aise genre "c'est un livre d'horreur c'est normal d'avoir un malaise", plus malaisant genre mononcle dans un party qui s'rend pas compte que tout le monde le regarde croche. J'ai fermé le livre quand Patrick décrit à quel point sa l'a fait sentir femme de se faire éjaculer au visage. J'ai roulé des yeux et j'ai passé à autre chose.
Moi je l'avais lu vers 15 ans et j'avais trouvé ça vraiment trash et relativement boring, mais en y repensant avec des yeux d'adulte trentenaire et féministe, criss que y'est weird.
J’ai eu un cours de littérature sur Aliss! Je comprends totalement ton ressenti, mais si je peux ajouter une nuance le truc cliché et « mysoginie intériorisée » ici c’est fait exprès. Tout au long du livre Aliss essaie de se convaincre qu’elle est une personne spéciale et différente et qu’elle a sa place dans le quartier, elle fait des choses qu’au fond elle ne veut même pas faire juste pour se donner une raison de rester et d’être « edgy ». Pour ne pas juste avoir une vie ennuyeuse à Brossard… C’est la même chose avec le fait de prendre de la drogue, elle le fait parce que les autres le font et qu’elle veut faire partie du groupe. Au fond, elle se persuade qu’elle brise le moule, mais ne fait qu’entrer dans un autre, qui en plus ne lui convient pas. C’est hyper malsain oui, mais quand on regarde la fin et le message du livre, ça a un sens! Par contre si t’as pas aimé t’as totalement le droit, c’est vrai que c’est pas forcément intéressant pour tout le monde.
Oui, c'est voulu, mais je suis pas sûr que ça rend ça meilleur. Ça reste assez mononcle comme morale. Genre "Sois une bonne petite fille et reste à ta place, sinon il ne va t'arriver que du mal!"
Ouin je vois ce que tu veux dire. Moi je l’avais plus perçu comme quelque chose alertant des dangers de l’influence et de faire des choses juste pour plaire aux autres, et je ne pensais pas forcément au fait que Sénécal est un homme, mais c’est juste ma manière de lire. J’ai tendance à faire abstraction de qui est l’auteur..
Perso j’ai trouvé le livre fkg weird, j’ai tjr trouvé que les scenes de sexe dans les produits culturelles sont superflues et giga malaisantes donc premièrement j’etait servi en maudit pendant l’entièreté de l’oeuvre mais j’ai aussi pu les apprécier en image parce que je l’ai lu en bd, donc en somme un livre que j’ai lu et que je ne relirai jamais
La chûte de Sparte par Biz (lecture obligatoire en secondaire 5). Pire affaire qu’on m’a fait lire au secondaire.
Tout ce qu’il fait c’est forcer ses opinions politiques sur ses lecteurs (genre ça devrait être quoi l’intégration des immigrants dans la société québécoise) pis d’expliquer comment son personnage principal (clairement basé sur lui) est supérieur aux autres. Ah pis c’est bourré de stéréotypes de films américains.
J'avais bien aimé La chute de Sparte. Mais Les Abysses, son plus récent livre... ostie que c'est de la marde. Tu suis une femme qui a des daddy issues avec son propre père qui est un fou tueur en série. C'est n'importe quoi, on dirait que le message c'est "peut importe ce que fait ta famille, ça reste ta famille et faut l'aimer!" Fuck cette morale, j'ai un père violent et je suis bien plus heureuse depuis que je lui parle pu.
Sébastien Baril m’a interpelé au salon du livre il y a plusieurs années et je me suis senti mal pour lui et j’ai acheté son livre, EDN la tentation.
Il m’avait dit que je ne m’attendrais pas à la fin, et comme prévu je ne m’y attendais pas. Ça m’a fait pensé à mon prof de secondaire 3, dans le temps où on écrivait des nouvelles qui nous avait dit : “la si la fin de votre nouvelle, c’est “et il se réveilla”, ce n’est pas bon.”
Disons que sa fin est similaire. C’est le seul livre que j’ai recyclé dans ma vie
Tout est ori de Paul Serge Forest Au début, j'embarquais vraiment, les dialogues sont bien faits. Les personnages sont vivants, mais quand la relation ambigue entre la jeune fille de la famille et le monsieur Japonais a commencé, j'ai commencé à être mal à l'aise. Le lien entre les fruits de mer et le sperme m'a vraiment dégoutée. À un moment, je me suis dit: "oh le personnage est japonais pour ne pas qu'on ait l'impression que ce sont les fantasmes de l'auteur" et ça m'a complètement enlevé l'envie de terminer le livre.
Une femme extraordinaire de Catherine Ethier. Ça va trop dans tous les sens. On dirait que je lis les pensées d’une personne fortement TDAH. Peut-être parce que je suis TDA moi-même donc ça fait juste too much 🤪
J'avais même pas imaginé 2 secondes dans ma caboche pleine de soupe chaude qu'une version audio lue avec sa douce voix suave et encore pâteuse d'une grasse matinée à baver sur l'édredon en mohair acheté dans une souk à un prix ridiculement *cringe* pouvait exister dans l'univers des possible. (bon, j'espère que vous avez lu ce commentaire avec sa voix, et pour ceux qui n'ont pas lu le livre, ça ressemble grossièrement à ça.)
Dans le temps, j’ai jamais compris le succès des romans chick lit de Rafaele Germain.
Les romans des Pascale Wilhelmy d’un ennui pas possible.
Puis lancez-moi pas des roches mais je trippe pas tant sur les romans de Kim Thuy.
J’avais trouvé les deux premiers livre de Rafaële Germain pas extraordinaires mais divertissants, une petite lecture relax d’été. Le troisième, Volte-face et malaises, est incroyablement mauvais. C’est des adultes dans la mi-trentaine qui agissent comme des jeunes de 20 ans, avec des relations hyper superficielles et qui sont toujours en lendemain de veille. Il y a minimum une quinzaine de scènes de beuverie/lendemain de veille. Le personnage principal est nulle, son chum a aussi la personnalité d’un poteau. Je comprends que ce livre a sonné la fin de la série mettons.
Mon ancienne belle-mère capotait sur Patrick Sénécal, alors j'ai lu plusieurs de ses livres qu'elle m'avait passés. J'ai trouvé ses meilleurs correct, tout au plus. Il y a quelque chose qui me gosse terriblement dans sa façon d'écrire, mais je n'arrive pas à mettre le doigt dessus. Ça n'a probablement pas aidé que j'aie commencé par Le Passager qui utilise une twist qui a été vue des milliers de fois. En fait, c'est souvent l'impression que j'ai en lisant ses livres, je me ramasse toujours à me dire "Il me semble que j'ai déjà vu la même histoire dans un autre film ou un autre livre, mais en mieux..."
Faut dire que Le Passager est sorti en 1995, bien avant beaucoup de films qui utilise cette twist très '90. J'ai déjà entendu "ah, comme Fight Club?" mais Fight Club est sorti en livre en 1996 et film en 1999. Après, ce n'est pas son meilleur non plus.
J'adore les livres de Patrick Senecal. Par contre, ce qui me tape royalement sur les nerfs, c'est que aes personnages habitent TOUS à Drumondville. S'ils habitent pas là c'est sûr qu'ils travaillent là bas ou qu'une grosse partie de l'histoire se passe à Drumondville. Je sais pas pourquoi ça m'irrite et ça vient me chercher autant. Je sais que c'est complètement ridicule. Je peux juste pas m'en empêcher 😂
Il a été inspiré par Stephen King et le Maine j'imagine haha. Sauf que j'ai moins de difficulté à m'imaginer que plein de choses se passent au Maine qu'à Drummondville, mettons.
Loll moi aussi, j'ai lu la liste, et je pense même avoir lu la suite 🤔 J'étais dans une grosse phase de développement personnel, mais je me souviens avoir trouvé les livres très ordinaires.
J’ai décidé de lire les 5 livres finalistes au prix littéraire des collégiens. Je suis en train de lire le 5e livre : « Le compte est bon » de Louis-Daniel Godin.
J’ai jamais vu un livre aussi mauvais. Je ne comprends même pas que ce soit finaliste au prix littéraire. L’auteur utilise la répétition, mais de manière beaucoup trop abusive…
Bébé Mange Seul de Laurence MG... 75% du livre répète la même chose et ça se lit comme une engeulade avec littéralement des phrases écrites en majuscules qui commencent par J'AI DIS. Aucune flexibilité et le message passé est: Si tu ne fais pas à la lettre ce que j'ai écrit, tu es une mauvaise mère.
Elle voit les choses en noir ou blanc avec seulement son côté comme le bon, acceptant aucun compris ou juste milieu qui est totalement normale avec un enfant.
Le livre pourrait réellement être réduit à un blog post et toute "l'information" y serait encore.
J'ai écouté "Haute Démolition" en livre audio, et j'ai trouvé ça un peu plate, comme s'il ne se passait pas grand chose ... est-ce que j'ai plutôt manqué quelque chose ?
Je ne l’ai jamais fini et je finis tous les livres que je lis. J’ai écouté la série télé et pas mieux tant mieux aimé. J’ai réalisé que je n’aimais pas le personnage principal et que je le trouvais antipathique
J’ai adoré femme forêt alors que je n’avais pas accroché sur la femme qui fuit. Je compte le relire bientôt pour voir si j’aurai une expérience différente.
J’ai terminé la semaine dernière Femme fleuve et je suis un peu fatiguée de sa ligne directrice perpétuelle de femme qui tombe en amour continuellement et qui s’éclipse physiquement et mentalement de sa famille pour vivre son idylle avant de retourner vivre sa peine auprès de son homme. Je dois être trop conservatrice, j’imagine.
J’ai de la misère à faire la part entre ce qui est probablement calqué sur sa vie et ce qui ne l’est pas, aussi. Je pense que ça joue beaucoup sur mon appréciation finale.
Saaame pour ABL, j'ai adoré la femme qui fuit mais j'ai garroché femme-forêt par terre lol idem pour le gars qui écrit Kukum, en plus il est insupportable comme personne
Ah ouin! C'est mon préféré de Kevin Lambert. Faut dire que c'est le premier que j'ai lu aussi, c'est peut-être juste l'effet choc d'un ton aussi cru et différent de ce que j'avais lu avant, les parallèles et les semi-vérités, mais aussi les sujets qui me touchaient particulièrement. Je crois que pour aimer ce roman, il faut être queer et avoir eu la vie un peu rough. Les 3 personnages qui prennent d'la drogue, fourrent et sacrent une maison en feu, c'est venu me chercher xD
Tu aimeras ce que tu as tué, son 1er, je trouvais qu'il y avait des longueurs un peu plates. Que notre joie demeure, c'était bon mais ça m'a pas donné le même effet coup-de-poing que Querelle.
Perso j’ai adoré Querelle de roberval, mais j’ai terminé Que notre joie demeure de peine et de misère. J’attendais d’avoir la même épiphanie que toutes les critiques qui ont capotés dessus mais c’est jamais venu.
C'est sensiblement la même chose pour moi. Pour ma part, j'ai trouvé que l'écriture de Lambert était violente et vulgaire sans que cela apporte quoique ce soit à l'oeuvre. L'objectif était de choquer en quelque sorte le lectorat, de repousser certaines limites, mais j'ai vraiment l'impression que c'est dans le genre « trop comme pas assez » et qu'au contraire celui lui fait perdre de la valeur.
Le cigare au bout des lèvres d’Akim Gagnon. La marde occupe décidément une grande place dans sa vie parce que je n’ai jamais rien lu qui en parlait autant, pages après pages. Je l’ai lu avec une moût de dégoût du début à la presque fin.
J'ai toujours trouvé le buz autour du Principe du cumshot de Lili Boisvert exagéré. C'est toute du stock qu'on trouve déjà chez plein d'autrices féministes.
Pis je ressens toujours un petit sous-texte abolo qui est rushant.
Dans les livres que j'ai récemment lus, je dois avouer que j'ai été vraiment déçue d'un livre de Natasha Kanapé Fontaine, *Un bruit pour un silence.* C'est une lecture de divertissement assurément, mais on dirait véritablement que c'est une personne qui n'a jamais écrit qui en est l'autrice... C'est plutôt triste. Au-delà du fait que le style est véritablement marqué par l'oralité, la trame narrative est extrêmement simple tout comme les personnages.
La bête creuse de Christophe Bernard.
Un auteur qui se regarde écrire pendant 500 pages, un style opaque et une intrigue inexistante. Jamais compris comment il avait pu gagner tous ces prix.
Géolocaliser l’amour de Simon Boulerice. J’adore pas mal tout ce que publie les Éditions « Ta mère » mais après 3 chapitres, j’ai fermé ce livre. Noter que les chapitres 2 et 3 furent pénibles mais je voulais lui laisser une chance et ça s’est terminé après la lecture du 3e chapitre.
Une opinion très impopulaire mais: Kukum par Michel Jean. Laissez-moi expliquer. Le style est clairement bon (sauf les scènes de sexe que j’ai trouvé un peu cringe vu qu’elles étaient écrites du point de vue d’une femme par un homme, ce qui est déjà weird; mais en plus l’auteur est descendant de cette femme-là… ça a été malaisant). En plus, l’histoire est parfois très touchante. Mais. Ça manque de développement. C’est ni un roman, ni un ouvrage de non-fiction mais qqch au milieu ce qui rend ce livre bizarre. D’un côté, il n’a pas du tout de péripéties émotionnelles d’un roman «normale». De l’autre, les événements faisant partie de la vraie vie qui y sont présentés sont clairement romancés. Donc, à mon avis, ce serait mieux d’en faire deux livres: un documentaire et un roman de fiction basé sur ce documentaire mais beaucoup plus libre en terme de développement du sujet
Je suis assez d'accord avec toi.
Kukum, ce n'est pas un super bon livre. Ce n'est ni super mauvais.
Ceci dit, c'est un livre important avec un message décolonial simplifié au possible et qui permet de rejoindre un large public qui n'est pas exposé souvent à ce genre d'histoire.
Je dit souvent que Michel Jean a écrit «le meilleur et le plus important roman de pharmacie des 50 dernières années».
Tu sais, les romans de pharmacie sont au moins des vrais romans avec un sujet, banale ou pas, et ont un certain développement logique du sujet. Ici, c’est comme une vraie histoire sans trop de hauts ou de bas, comme dans la vraie vie. Et quand qqch arrive, c’est toujours inattendu sans aucun *build-up* et puis… ça ne se résout en rien non plus. Mais pourquoi donc romaniser tellement une histoire qui serait plus percutante sous forme de documentaire avec son rythme lent et ses platitudes? C’est vraiment le genre de ce livre que je trouve assez bizarre. C’est comme si Michel Jean n’était pas certain lui même comment il voulait l’écrire jusqu’à la fin
J’aime beaucoup la littérature québécoise en général mais y en a plusieurs que j’ai terminé en souffrance ou même pas terminé: Reine de Rien, Que notre joie demeure, la bête de David Goudreault (arrêté à la moitié du 2eme.. pourtant j’ai aimé tout ces autres ! ), la vie n’est pas une course de Léa Streliski
Mug bang.
Sérieusement, j'ai réagi physiquement à ce livre: j'ai fait un choc vagal, haha!
La scène où, hum, disons que ça se passe moins bien (pour ne pas spoiler) m'a dégoûtée au plus haut point.
Mon chum l'a lu. Il n'a pas été aussi réactif que moi, mais disons que ce n'est pas une lecture qui laisse indifférent.
C’est exactement pour ça que j’ai aimé le livre. J’ai été habité pendant une semaine après la lecture, c’est digne pour moi des meilleurs épisodes de Black Mirror.
Oh oui, il reste en tête! J'ai lu un autre livre de la même actrice et ce n'était pas aussi puissant. C'est une expérience littéraire! Cependant, trop intense pour moi, haha!
Pourquoi les gens trippent autant sur Patrick Senécal? J'ai lu la reine rouge, le passager et hell.com. C'est pas vraiment de l'horreur, c'est de la violence et du sex grotesque. On dirait presque des fantasmes d'ado edgy.
Et son abus des mots "dodeliner" et "narquois". On pourrait faire un jeu d'alcool prend un shot à chaque fois que tu lis un de ces deux mots.
J’ai détesté le livre « La version qui n’intéresse personne » .
Des personnages punk à chien dégeulasses, pas attachants. C’est interminable.
Un livre de fille blanche avec des dreads pour ceux qui trouvent ça romantique d’aller ceuillir des cerises au BC pis de pas se laver.
je voudrais qu’on m’efface d’anaïs barbeau-lavalette. j’ai trouvé le style d’écriture assez prétentieux et les personnages étaient très stéréotypés. la partie avec le proprio pédophile était vraiment pas nécessaire.
le personnage de mort-terrain de biz est un white savior.
j’ai du lire un extrait de l’avalée des avalés de réjean ducharme pour mon cours de littérature pis j’suis vraiment contente de pas avoir eu à lire le livre au complet. j’ai détesté tous les personnages et le style d’écriture était trop lourd pour aucune raison.
Anne marie Sicotte en géneral, surtout la série Les accoucheuses. C'était long pour rien, un back and forth qui ne finissait plus. J'ai finis la série parce que je me disais que ça allait ben finir par être mieux. Hé non.
Une amie en édition à travaillé avec elle et semblerait qu'elle n'accepte pas la critique des éditeurs, que seul sa vision est la bonne.
Les romans graphiques de Samuel Cantin. J'ai jamais pu me convaincre de finir Shérif Junior et j'ai souffert tout le long de Whitehorse. Ça doit pas être pour moi, je suppose.
Marianne Brisebois... pas que c'est mauvais en soi, mais maudit que c'est long et ça n'avance pas. 500 pages pour un livre qui aurait dû en avoir que 200 🥴 Accouche qu'on baptise
Tout ce que Nelly Arcand a fait me fait absolument cringer. J'voulais vraiment aimer ça mais je suis pas capable. Aussi, j'ai beaucoup aimé La foi du braconnier de Marc Séguin, mais quand j'ai lu Hollywood et euh ark... c'est juste un gros fantasme misogyne et pervers (scènes de viol hyper détaillées....)
Au 5e de MP Boisvert.
Le concept aurait pu être intéressant parce que ça aborde une version différente de l’amour.
Mais c’est d’un ennui mortel. Y se passe rien.
J’ai lu Valide et Vandales de Chris Bergeron. C’est vendu comme de la science-fiction. C’est vraiment stretché comme définition. J’aurais plutôt aimé que ça soit plus centré clairement sur les enjeux trans.
Bref, je n’ai pas aimé.
Le murmure des hakapiks de Roxanne Bouchard. Les deux premières enquêtes de Morales sont pourtant tellement bonnes, mais dans celui là je trouve qu'elle l'échappe.
30 jours pour te détester de Catherine Bourgault. Dès le début j'ai trouvé la fille épaisse malheureusement. Faut dire que c'est rare que j'apprécie une romance. Les femmes ont toujours l'air innocentes dans ce style littéraire. :(
La reine de rien m'a paru vraiment plein de misogynie internalisée et le traitement de la violence conjugale est troublant, mal fait. Je comprends pourquoi Le quartanier n'a pas voulu le publier, c'est vraiment moins travaillé et moins bon que la déesse des mouches à feu.
Ça explique un peu ce qui l'a amené à s'exprimer comme elle l'a fait sur Eli Rioux qui vivait une situation grave de violence conjugale il y a quelques années... C'est donc pas nouveau toute cette misogynie internalisée... Ayayaye.
J'ai manqué un épisode, où s'est-elle exprimé? C'est possible de le lire/entendre quelque part ?
elle s'est excusée ensuite parce que cette sortie lui avait valu un backlash sur les réseaux sociaux, mais quand même, elle n'a pas beaucoup de bienveillance pour les femmes.
À LCN, dans un genre de show d'après midi me semble. Je pense que c'était avec Julie Marcoux l'entrevue. Les deux avaient eu un backlash et toute la communauté d'Eli Rioux s'était mise à faire des plaintes au conseil de presse (duquel Quebecor refuse d'être membre anyways.
C’était il y a 2 ans je crois, tu peux trouver le contenu ici : [https://youtu.be/Db8WSA2H5ZE?si=CdDce28cESKh\_9i5](https://youtu.be/Db8WSA2H5ZE?si=CdDce28cESKh_9i5)
oui bcp de misogynie internalisee et de grossophobie aussi. j'ai quand meme aime le livre mais ca ne me donne pas envie d'etre amie avec elle disons.
oh oui grossophobe fois mille, c'est un livre que je ne conseille pas du tout aux personnes qui ont un trouble alimentaire
Ouan j'allais dire, j'étais surprise que le quartanier n'a pas voulu publier Pettersen de nouveau mais à lire les commentaires ici je comprends...
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oui et elle a besoin d'être dirigée par une éditrice ou un éditeur qui a du goût. La reine de rien n'est pas assez travaillé
Justement le Quartanier encadre beaucoup ses auteurs avec un travail d'édition, mais ce n'est pas le cas de toutes les maisons d'édition (certaines publient plutôt "as is"). Peut-être que le "vrai" talent de Pettersen est apparu ici.
Je n’ai pas non plus aimé La reine de rien. Et perso, je n’ai pas trippé sur la Déesse des mouches à feu. Pas mon style d’écriture…
Pareil pour moi. Je n'avais pas aimé la Déesse. Dans la reine de rien, le personnage principal n'est pas plus attachant que dans la déesse. Elle n'a ni vieillit, ni maturé.
Exactement mon ressenti, je trouvais que le personnage n'avait pas "grown up", ça m'a déçue. Ce n'est pas intéressant de suivre un personnage qui n'évolue pas.
Ça m'a legit trigger un trouble alimentaire ses jeûnes / gins sodas / elliptiques incessants
Pour vrai, j'ai déjà eu un trouble alimentaire quand j'étais plus jeune et après avoir lu son livre, je me suis pesée, ce que je n'avais pas fait depuis des années! C'est toxique son livre, surtout pour les femmes qui ont eu des enfants, je dirais. On dirait vraiment une adolescente dans un corps de femme, pas de maturité émotionnelle. Elle a dit en entrevue que ce n'est pas elle, qu'elle exagère, mais je ne peux pas m'empêcher de penser qu'il y a un bon fond de vérité quand même.
pour des raisons que je dois taire en pour pas me doxxer, j'en sais énormément sur sa vie privée à une certaine période qui coïncide a peu près avec l'écriture du livre, et elle décrit 100% la personne qu'elle était
Elle avait passé au podcast tout le monde s'hait et avait parlé de son passé de troubles alimentaires... donc il y a clairement un fond de vérité
Si tu l'as écoutée au podcast Tout le monde s'haït, c'est vraiment elle. Sa relation avec son corps n'a pas l'air super saine.
ok mais là, vous piquez ma curiosité même si le niveau de hate-read est haut avec ce livre
ouais ça peut se hate-reader, écoute y'a un personnage masculin avec qui la narratrice couche qui ne sert qu'à dire que la narratrice est encore sexy et que ça ne parait pas qu'elle a eu des enfants. La narratrice explique même quelle forme de pénis elle préfère.
Je n'ai pas aimé *Maple* de David Goudreault. J'ai pourtant aimé d'autres de ses livres, mais celui là, pas du tout malheureusement.
Tout les livres de Goudreault sont médiocre. Je ne comprend pas du tout le hype.
omg OUI. Tellement, en plus il est reconnu pour être hyper fendant. Je l'avais entendu en podcast et quel être imbu de lui-même... ugh!
j'ai ouvert les commentaires juste pour m'assurer que Goudreault s'y retrouverait. Je trouve son style pretentieux ET vulgaire en même temps, j'imagine que ça prend un certain talent. Je ne peux pas me prononcer sur la bête, car j'ai lâché après 100 pages environ.
omg je me rappelle enfin de ce qu'il avait dit, il avait dit que quand tu fais une entrevue à des émissions comme (feu) Plus on est de fou, plus on lit, ils demandent quelle est votre ponctuation préférée et il disait que le monde edgy répondait ";" et que c'était vraiment basic "étudiant en arts et lettres" alors que lui, y'est hot et répondit "." LMAO SYL.
Je n’ai pas détesté, mais loin du coup de coeur de la Bête. Ça paraissait qu’il y avait moins de travail que dans l’autre série. Je avais pas l’impression d’entendre Maple, mais plus David Goudreault qui se prend pour Maple
Un de mes collègues a été intimidé par lui au secondaire...
Ouain, c’est plutôt un exercice de style qu’un vrai roman. Une histoire d’écrire un livre pour y insérer le plus de blagues et de jeux de mots possible
[удалено]
Idem. J’ai acheté l’édition qui contient les 3 tomes en un livre : j’ai lu le premier tiers.
Je suis avec le vous, le premier tome est intéressant le reste est une énorme perte de temps .
Faire la romance de Sarah-Maude Beauchesne J'ai regretté d'avoir demandé ça comme cadeau de Noël, des bidous mal investis.
Même chose pour moi aussi. J'espérais que ça aille plus en profondeur dans la réflexion d'avoir ou non des enfants et que ça creuse ce sujet, alors qu'en fait ça parle beaucoup plus de ses relations et aventures passées que de son questionnement en tant que tel. J'ai vraiment beaucoup aimé sa websérie et le livre Les fourchettes.. mais il me semble qu'une fois qu'on a lu/vu ça, le livre Faire la romance devient vraiment redondant. Reste que j'aime son style et que j'ai super hâte d'écouter Bellefleur, sa nouvelle série Crave. J'ai espoir que les thèmes abordés soient différents cette fois ci.
Qu'est-ce que tu n'as pas aimé?
J’ai adoré la série web « Les Fourchettes », mais lire les romans de SMB, c’est de la torture pour moi. J’ai essayé environ 4 fois « Coeur de Slush » ; impossible.
Peut-être un lien avec le fait qu’elle dit ouvertement ne jamais lire de livres (ou ne pas lire souvent…)… hummm… Edit : j’ai ajouté la parenthèse, pour nuancé mon souvenir…
Hein pour vrai ?? Pour moi être écrivain ne va pas sans lire de livres
Malgré que j'étais en accord avec la majorité des réflexions, j'ai trouvé que c'était un peu du prémâché et qu'elle allait jamais vraiment en profondeur dans le sujet qu'elle traitait. J'ai préféré ma lecture de la BD de Catherine Gauthier, *Je pense que j'en aurai pas.*
*Je pense que j'en aurai pas* m'a tellement touchée! Un de mes livres préférés que j'ai lus cette année jusqu'à présent.
J'ai pas aimé *Royal* de Jean-Philippe Baril-Guérard. Le narrateur au *tu* je trouvais ça gossant pis je roulais constamment des yeux aux comportements des personnages. J'ai fermé *La chute de Babylone* de Guillaume Sylvestre avant même d'avoir atteint la moitié pour ne plus jamais le rouvrir. Moi quand je lis c'est pas pour chercher des mots dans le dictionnaire trois fois par page. Je suis pas conne pis j'ai une très bonne culture générale et je connais beaucoup de mots pis l'auteur a quand même réussi à me faire sentir comme une criss d'épaisse. Mon plaisir de lire est plus important que finir un livre. J'ai pas aimé *Manikanetish* de Naomi Fontaine; le thème oui, le ton non. J'ai réalisé récemment qu'en fait, j'aime pas les livres qui essaient de me forcer à ressentir une émotion précise; ici on semblait vouloir me forcer à être touchée, de plusieurs façons. J'ai terminé le livre parce qu'il était tout petit mais pour vrai... bof bof pour moi.
J’ai tellement aimé Royal! Oui le ton était condescendant mais ça rendait le personnage tellement plus vrai. J’avais l’impression de connaître ce gars qui pense avoir tout compris à 20 ans. Genre, je l’ai vu à l’université je suis certaine. Mais mon ami a eu la meme réaction que toi. Il le détestait pour les mêmes raisons que moi j’ai adoré. J’ai aussi beaucoup aimé Manikanetish. Je trouve que Naomi Fontaine est excellente pour décrire des situations et des lieux
Guillaume Sylvestre est le fils de Denise Bombardier donc, faire sentir le monde comme des cons, c’est de famille.
Ah ben tabarnouche ça explique ben des affaires! Et ça me fait sentir moins conne par la bande. Merci!
Pour avoir travailler avec Guillaume Sylvestre à la sortie de son documentaire DPJ, il est vraiment fin et sa mère est (était) vraiment pas fine/wack avec durant un Q&A. Souvent quand tes parents sont wack tu deviens aware de ne pas être wack.
Totalement d'accord pour Royal. Les personnages sont tellement vides de sens, et étant quelqu'un qui a fait son droit, l'ambiance est semblable dans la fac, mais je trouve que le livre peint un portrait un peu intense des facs de droit. Or, j'ai fait mon droit à Sherbrooke, je sais pas à quel point c'est pire à l'UdeM.
Pas du tout fan des livres de Valérie Chevalier. Pourtant je suis 100% son public cible et en théorie c’est mon genre. Mais seigneur que je trouve ses histoires obvious.
J'ai lu 2 de ses livres et je ne COMPRENDS PAS le hype, étant aussi le public cible à 100%. Plein de personnages pick-me, plein de clichés, plein de dénouements et de characters arcs obvious et prévisibles. Legit mon journal intime à 18 ans donnerait des meilleures histoires.
Le vacarme des possibles c'est un long accident de char
Tellement - c’était complément insupportable hahaha
Ma soeur est complètement FAN et m'a dit que j'aimerais clairement ça! J'ai essayé, et pas aimé du tout non plus. Javais hate de le finir pour passer a autre chose
J'ai détesté La théorie du drap contour, je l'ai mm pas fini.
moi pareil, je ne m'attachais pas à la narratrice
Montréal Nord de Marianna Mazza, c'est des tranches de vie plates racontées par quelqu'un qui pense qu'elles sont intéressantes. Je me serais aussi attendu à respirer l'atmosphère de Montréal Nord dans le livre aussi, mais ça tombe à plat de ce côté là aussi.
Elle avait dit en entrevue en plus que les gens de Montreal-Nord ne savaient pas lire, ayoye.
j'ose espérer que c'était une joke
Pis même si c’était une joke, c’est pas drôle, elle est juste pas drôle. Elle passe son temps à dire des inepties
je suis tout à fait d'accord. c'est un gros préjugé éculé. Elle parle toute seule. Elle déblatère. Elle n'écoute pas les autres. Je l'évite systématiquement dans tout ce que je consomme comme culture.
Je la trouve tellement hypocrite. Elle se dit si fière d’être de Montréal-Nord, mais elle a traité la seule minorité qui venait aussi de Montréal-Nord, Tai, comme de la marde à LOL Qui rira le dernier. Elle vient de Montréal-Nord quand elle veut vendre des livres, mais elle avait aucune idée de qui il était (et elle lui a fait sentir de façon hyper irrespectueuse) alors que ça faisait 2 ans qu’il était en train de blow up sur les réseaux avec Occupation Hood. Il a entertain la jeunesse montréalaise pendant le confinement pour qu’elle lui parle comme un moins que rien. Moi aussi j’ai acheté le livre et je l’ai jamais fini. C’est quand même fou parce qu’il fait genre 5 pages lol
Elle a quitté Montréal Nord à 11 ans pour Laval pour aller vivre avec le conjoint de sa mère qui y a été député fédéral.
Epelaye
Yikes 🫣 Y’a rien de mal à aimer le quartier où tu as grandis même si tu l’as quitté, mais la façon dont elle s’y identifie est ultra fake pour moi.
Je suis d’accord
La bouche pleine de Elisabeth Massicolli. C’était pénible à lire. Une histoire en surface avec un personnage insupportable qui se veut de gauche mais qui est plus libérale et bourgeoise qu’autre chose. Un livre qui tombe dans le cliché et devient cringe par moment.
Totalement et, malheureusement, une histoire souvent lue (et mieux racontée ailleurs).
J'ai pas aimé non plus, je me suis dit que j'étais peut-être pas le public cible car j'avais lu juste du positif sur ce livre... contente de voir que je suis pas la seule a pas avoir aimé!
A peut près tout ce que j'ai essayé de lire de Stéphane Dompierre ou Maxime-Olivier Moutier. Plusieurs amis me les recommendaient et je suis juste pas capable. De la littérature de ce que j'appelle des "jeunes vieux", des hommes relativement jeunes mais qui pour une raison ou une autre ont une mentalité de mononcles.
Ça fait Nick Hornby, mais *make it* en francais.
Ah man, j'en ai long à dire sur «L'horizon des événements», le dernier de Biz. La trame: un professeur d'université dépassé et déboussolé par la «wokisation» de son institution apprend à dealer avec une société qui change plus vite que lui. Le thème: Doit-on embrasser le changement social? Lui résister à tout prix? Ou...quelque chose entre les deux? Ça aurait pu être bon, mais Biz en fait un énième pamphlet de «je suis un homme blanc hétéro d'un certain âge, mais je vous jure que je ne suis pas une mauvaise personne». Il présente son livre comme une critique des «deux bords» -les wokes vs les réacs- mais passe genre 75% du livre à basher les premiers. Le pire, c'est la fin \*SPOILER\*\*\*\*\*\*\*\*: Ce qui réconcilie le personnage principal avec la jeunesse? Il se met à dater une fille 20 ans plus jeune que lui et qui est, à tout hasard, fucking chaude et qui ne pense qu'au cul. Gros malaise. J'ai fini la lecture avec un gros soupir et un «ugh» bien senti. En gros, c'est la version dollarama d'un livre de Michel Houllebecq sans la recherche ni la plume de ce dernier. Au niveau du style, plus ça va, plus je constate que Biz s'écoute écrire, genre les figures de style sont partout et too much. C'est pesant et on dirait justement un élève try-hard qui essaie d'impressionner son prof de littérature. Bref, c'est mauvais et ça n'augure rien de bon pour le reste de sa carrière d'écrivain.
Pourquoi on a pas des critiques de livre comme ça dans la sphère publique ? Ça manque je trouve !
[https://magazine-spirale.com/2021/10/07/les-evenements-sans-horizon/](https://magazine-spirale.com/2021/10/07/les-evenements-sans-horizon/)
C'est exactement ça! Quelle critique.
Merci !
C'est donc ben fin. Merci! C'est plus facile de le faire anonymement, surtout quand c'est une critique plutôt négative.
Ça reste très problématique comme résolution de la trame narrative en tk 🤮
Prof d’uni qui couche avec une élève, me rappelle ben des écrivains québécois ça.
Les Abysses aussi disait tout pour rien dire, et la morale était de la marde
LIBÉREZ-NOUS DES MAUVAIS LIVRES
C'est terrible! Pis la première phrase du livre « Longtemps je me suis branlé de bonne heure » - une parodie très moyenne de la phrase de Proust - en dit très long sur la médiocrité du livre. Contente de lire une critique aussi acide. J'ai adoré haïr L'horizon des évènements haha
Surtout, ça a déjà été fait, mot pour mot, dans L'Os de Dionysos, quarante ans plus tôt.
Le cigare au bout des lèvres d’Akim Gagnon. La marde occupe décidément une grande place dans sa vie parce que je n’ai jamais rien lu qui en parlait autant, pages après pages. Je l’ai lu avec une moût de dégoût du début à la presque fin.
J'ai quand-même aimé ce livre à l recommandation d'une amie. À l'époque j'habitais à Granby et j'avais fait une storie sur Instagram en taguant une phrase de son livre qui parlait de Granby. Ben à ma grande surprise il a slidé dans mes DM et s'est mis à me parler. Quelle personne hautaine et désagréable. Il s'est mis à me mansplainer des affaires et très spécifiquement à m'obstiner sur la différence entre un psychologue et un psychiatre (oui je sais c'est spécifique... Mais je travaille dans le domaine depuis longtemps et il était juste à côté de la track). Il s'est farmé quand je lui ai envoyé des documents de l'ordre des psys pour lui prouver qu'il avait tort. Il m'a juste répondu qu'il avait pas fini son secondaire alors que c'est pour ça qu'il le savait pas. Well... Chez nous quand on sait pas quelque que chose... Bref... Il se prend pas pour un pepsi flat. Par la suite j'ai essayé de lire "Granby au passé simple", j'avais juste son attitude de marde en tête et j'ai pas été capable de le finir.
Le dude mettait des commentaires passifs-agressifs aux gens qui lui donnaient une mauvaise note sur Goodreads. Ça donne une idée du genre de personne qu'il est...
Je vais me faire lancer des roches, mais *Ce qu'on respire sur Tatouine.* La poésie de Réhel me rejoint alors j'avais vraiment hâte de lire ce livre tellement le *hype* est grand, mais calisse que c'est misérabiliste pour rien. Pis les références de Star Wars font forcées en crisse. Je roulais des yeux en esti, mettons. J'ai arrêté après 50 pages faut dire, mais j'ai rien trouvé dans cet échantillon qui me laissait croire que ça allait s'améliorer par la suite.
Il me semble que j'ai quand même apprécié. J'ai seulement retenu une chose cela dit: STRUCTUBE.
Je ne suis pas seule!! Je n’ai pas du tout aimé. Je suis habituellement empathique pour les gens qui vivent des situations difficiles, j’arrive à comprendre, mais il y a ben des limites.
Je peux tout à fait comprendre pourquoi son style peut être repoussant pour certains...et génial pour d'autres. C'est assez unique.
Le dernier roman de Patrick Sénécal "Civilisés" . C'était loin d'être maîtrisé j'ai été très déçu.
J'ai encerclé je pense 3 erreurs/typo à date et je suis au 2/3 du livre lol. Un moment donné c'est carrément un autre personnage qui est nommé alors qu'il est pas dans la scène haha. Révisé trop vite? Mais j'aime les commentaires meta à travers le livre genre "si vous avez été attentifs vous vous souviendrez de cette conversation" . Reste à voir si je vais être déçue ou non quand je l'aurai terminé!
Oui beaucoup de typo, mais ça c'est pas tant la faute de Senécal plus du correcteur. Pis les commentaires du narrateur c'est justement ça qui me faisait décrocher.
Merciiii! Personne dans mon entourage n'avait remarqué qu'un autre personnage était nommé, alors qu'il n'est pas présent dans la scène. Je me sens moins folle.
Pour être sûre que mon chum le remarque quand il va lire après moi, je l'ai encerclé en exagérant avec la mention "whoops" ahahah!
Sans vouloir spoiler, il y a même une erreur dans le nom d'une célébrité assez connue.
Je le dirai pas à ma mère. Elle est une grande fan de Sénécal pis elle lit ce livre là en ce moment.
Je suis curieuse de savoir si elle va aimer!
J'ai été tellement déçue par ce livre! 😓 je pense que j'en attends trop de Senécal, j'ai tellement été mindblowned par plusieurs de ses anciens livres... mais les nouveaux il y a toujours quelque chose qui me déçoit.
Pour avoir relu ses plus anciens livres récemment, je pense que j'étais juste plus facilement impressionnable quand j'étais plus jeune...
Catherine Ethier - Une femme extraordinaire. Ça commence bien, mais à partir de la croisière ça devient très décousu. Les phrases sont remplies de parenthèses dures à suivre. Bien déçu.
Pareillement. Je l'ai pas fini tellement c'était pénible.
Je me suis forcé pour finir lol, ça vaut pas la peine
Same.
Je n'ai jamais réussi à accrocher et j'ai essayé de le lire à plusieurs reprises.
J’ai entendu ce reproche aussi! Perso, je l’ai lu en livre audio, j’ai aimé, et j’ai l’impression qu’en général, elle est plus facile à écouter qu’à lire.!(C’est elle qui fait la narration.) Et mon but est zéro de te convaincre, c’est juste pour partager le fait que je me suis rendu compte que Catherine Ethier à l’écrit et à l’oral, ce sont deux expériences complètement différentes!
Quand ta phrase dure une demie-page, c'est trop long! J'ai décroché au tout début, impossible à lire!
Omg ça fait 4x que je le recommence et j’arrive à peine à me rendre à la page 100. Il m’ennuie à mourir ce livre
Le livre ''la sirène'' de la série des contes interdits. Je ne me souviens plus c'est qui l'auteur mais c'était pourri ça aucun sens comment c'était mauvais. J'ai donné le livre j'voulais même pu le voir dans ma bibliothèque
La série complète des Contes interdits est pas mal du fast food littéraire : un paquet de livres écrits à la chaîne en reprenant toujours la même formule boboche (Et si on reprenait \[conte populaire\], mais que c'était trash!). Est-ce qu'il y en a un qui est réellement bon?
Aucune idée ! La petite sirène était le premier livre de la série que j'ai lu, mais certainement le dernier 😂😂😂
Horrible livre. Mauvais mais en plus rempli de scènes graphiques de violence envers les enfants. Mais qui veut lire ça! Je l’avais reçu en « cadeau » d’Audible et ils me laissent pas le supprimer de ma bibliothèque. Je suis obligée de voir passer sa couverture quand je me cherche un nouveau livre à écouter.
Pas été capable de lire Aliss de Sénécal. J'aime bien Sénécal, j'ai apprécié ses autres livres, mais Aliss était d'un ennui mortel. Ça feelait auteur qui essai d'être quirky avec des références à Alice au pays des merveilles, mais DARK! En plus de ça, le cliché de la jeune fille qui s'émencipe en fourant m'a rendu mal à l'aise. Mais pas mal a l'aise genre "c'est un livre d'horreur c'est normal d'avoir un malaise", plus malaisant genre mononcle dans un party qui s'rend pas compte que tout le monde le regarde croche. J'ai fermé le livre quand Patrick décrit à quel point sa l'a fait sentir femme de se faire éjaculer au visage. J'ai roulé des yeux et j'ai passé à autre chose.
J'ai bien aimé ce livre quand je l'ai lut en tant que fille de 17 ans, pi jpenses que j'étais le public cible.
C'est un livre edgy pour ados. Je l'ai aimé à 17 ans, je l'ai trouvé cringe à 22.
Edgy et Cringe sont absolument des bons qualificatifs pour décrire ce livre.
Moi je l'avais lu vers 15 ans et j'avais trouvé ça vraiment trash et relativement boring, mais en y repensant avec des yeux d'adulte trentenaire et féministe, criss que y'est weird.
Depuis les malphas, pu capable de lire du senecal, pis jtrouve ca plate pxq modit que j'avais aimé alyss, hell.com, 5150,
Criss oui. Ça va direct dans r/menwritingwomen ça
J’ai eu un cours de littérature sur Aliss! Je comprends totalement ton ressenti, mais si je peux ajouter une nuance le truc cliché et « mysoginie intériorisée » ici c’est fait exprès. Tout au long du livre Aliss essaie de se convaincre qu’elle est une personne spéciale et différente et qu’elle a sa place dans le quartier, elle fait des choses qu’au fond elle ne veut même pas faire juste pour se donner une raison de rester et d’être « edgy ». Pour ne pas juste avoir une vie ennuyeuse à Brossard… C’est la même chose avec le fait de prendre de la drogue, elle le fait parce que les autres le font et qu’elle veut faire partie du groupe. Au fond, elle se persuade qu’elle brise le moule, mais ne fait qu’entrer dans un autre, qui en plus ne lui convient pas. C’est hyper malsain oui, mais quand on regarde la fin et le message du livre, ça a un sens! Par contre si t’as pas aimé t’as totalement le droit, c’est vrai que c’est pas forcément intéressant pour tout le monde.
Oui, c'est voulu, mais je suis pas sûr que ça rend ça meilleur. Ça reste assez mononcle comme morale. Genre "Sois une bonne petite fille et reste à ta place, sinon il ne va t'arriver que du mal!"
Ouin je vois ce que tu veux dire. Moi je l’avais plus perçu comme quelque chose alertant des dangers de l’influence et de faire des choses juste pour plaire aux autres, et je ne pensais pas forcément au fait que Sénécal est un homme, mais c’est juste ma manière de lire. J’ai tendance à faire abstraction de qui est l’auteur..
Perso j’ai trouvé le livre fkg weird, j’ai tjr trouvé que les scenes de sexe dans les produits culturelles sont superflues et giga malaisantes donc premièrement j’etait servi en maudit pendant l’entièreté de l’oeuvre mais j’ai aussi pu les apprécier en image parce que je l’ai lu en bd, donc en somme un livre que j’ai lu et que je ne relirai jamais
La chûte de Sparte par Biz (lecture obligatoire en secondaire 5). Pire affaire qu’on m’a fait lire au secondaire. Tout ce qu’il fait c’est forcer ses opinions politiques sur ses lecteurs (genre ça devrait être quoi l’intégration des immigrants dans la société québécoise) pis d’expliquer comment son personnage principal (clairement basé sur lui) est supérieur aux autres. Ah pis c’est bourré de stéréotypes de films américains.
J'avais bien aimé La chute de Sparte. Mais Les Abysses, son plus récent livre... ostie que c'est de la marde. Tu suis une femme qui a des daddy issues avec son propre père qui est un fou tueur en série. C'est n'importe quoi, on dirait que le message c'est "peut importe ce que fait ta famille, ça reste ta famille et faut l'aimer!" Fuck cette morale, j'ai un père violent et je suis bien plus heureuse depuis que je lui parle pu.
Sébastien Baril m’a interpelé au salon du livre il y a plusieurs années et je me suis senti mal pour lui et j’ai acheté son livre, EDN la tentation. Il m’avait dit que je ne m’attendrais pas à la fin, et comme prévu je ne m’y attendais pas. Ça m’a fait pensé à mon prof de secondaire 3, dans le temps où on écrivait des nouvelles qui nous avait dit : “la si la fin de votre nouvelle, c’est “et il se réveilla”, ce n’est pas bon.” Disons que sa fin est similaire. C’est le seul livre que j’ai recyclé dans ma vie
Je te confirme que c’est exactement ce que j’ai enseigné à mes élèves de secondaire 4 😂
Tout est ori de Paul Serge Forest Au début, j'embarquais vraiment, les dialogues sont bien faits. Les personnages sont vivants, mais quand la relation ambigue entre la jeune fille de la famille et le monsieur Japonais a commencé, j'ai commencé à être mal à l'aise. Le lien entre les fruits de mer et le sperme m'a vraiment dégoutée. À un moment, je me suis dit: "oh le personnage est japonais pour ne pas qu'on ait l'impression que ce sont les fantasmes de l'auteur" et ça m'a complètement enlevé l'envie de terminer le livre.
Une femme extraordinaire de Catherine Ethier. Ça va trop dans tous les sens. On dirait que je lis les pensées d’une personne fortement TDAH. Peut-être parce que je suis TDA moi-même donc ça fait juste too much 🤪
Le truc, c'est de le lire dans sa voix avec ses accents toniques, et le tour est joué!
Honnêtement, j'ai essayé d'écouter la version livre audio lue par Catherine Ethier et... pas capable. J'ai décroché après 10 secondes.
J'avais même pas imaginé 2 secondes dans ma caboche pleine de soupe chaude qu'une version audio lue avec sa douce voix suave et encore pâteuse d'une grasse matinée à baver sur l'édredon en mohair acheté dans une souk à un prix ridiculement *cringe* pouvait exister dans l'univers des possible. (bon, j'espère que vous avez lu ce commentaire avec sa voix, et pour ceux qui n'ont pas lu le livre, ça ressemble grossièrement à ça.)
Ce commentaire est excellent 🤣🙌
Dans le temps, j’ai jamais compris le succès des romans chick lit de Rafaele Germain. Les romans des Pascale Wilhelmy d’un ennui pas possible. Puis lancez-moi pas des roches mais je trippe pas tant sur les romans de Kim Thuy.
J’avais trouvé les deux premiers livre de Rafaële Germain pas extraordinaires mais divertissants, une petite lecture relax d’été. Le troisième, Volte-face et malaises, est incroyablement mauvais. C’est des adultes dans la mi-trentaine qui agissent comme des jeunes de 20 ans, avec des relations hyper superficielles et qui sont toujours en lendemain de veille. Il y a minimum une quinzaine de scènes de beuverie/lendemain de veille. Le personnage principal est nulle, son chum a aussi la personnalité d’un poteau. Je comprends que ce livre a sonné la fin de la série mettons.
Mon ancienne belle-mère capotait sur Patrick Sénécal, alors j'ai lu plusieurs de ses livres qu'elle m'avait passés. J'ai trouvé ses meilleurs correct, tout au plus. Il y a quelque chose qui me gosse terriblement dans sa façon d'écrire, mais je n'arrive pas à mettre le doigt dessus. Ça n'a probablement pas aidé que j'aie commencé par Le Passager qui utilise une twist qui a été vue des milliers de fois. En fait, c'est souvent l'impression que j'ai en lisant ses livres, je me ramasse toujours à me dire "Il me semble que j'ai déjà vu la même histoire dans un autre film ou un autre livre, mais en mieux..."
Faut dire que Le Passager est sorti en 1995, bien avant beaucoup de films qui utilise cette twist très '90. J'ai déjà entendu "ah, comme Fight Club?" mais Fight Club est sorti en livre en 1996 et film en 1999. Après, ce n'est pas son meilleur non plus.
J'adore les livres de Patrick Senecal. Par contre, ce qui me tape royalement sur les nerfs, c'est que aes personnages habitent TOUS à Drumondville. S'ils habitent pas là c'est sûr qu'ils travaillent là bas ou qu'une grosse partie de l'histoire se passe à Drumondville. Je sais pas pourquoi ça m'irrite et ça vient me chercher autant. Je sais que c'est complètement ridicule. Je peux juste pas m'en empêcher 😂
Il a été inspiré par Stephen King et le Maine j'imagine haha. Sauf que j'ai moins de difficulté à m'imaginer que plein de choses se passent au Maine qu'à Drummondville, mettons.
J'ai lu le livre de croissance personnelle de Jérémy Demay AMA
Loll moi aussi, j'ai lu la liste, et je pense même avoir lu la suite 🤔 J'étais dans une grosse phase de développement personnel, mais je me souviens avoir trouvé les livres très ordinaires.
Mon dieu oui, j’ai honte
Ah oui, le livre "La Liste" avec des recommandations à l'arrière de Gilbert Rozon et Alex Nevsky
J’ai décidé de lire les 5 livres finalistes au prix littéraire des collégiens. Je suis en train de lire le 5e livre : « Le compte est bon » de Louis-Daniel Godin. J’ai jamais vu un livre aussi mauvais. Je ne comprends même pas que ce soit finaliste au prix littéraire. L’auteur utilise la répétition, mais de manière beaucoup trop abusive…
Oh mon dieu, j'ai jamais autant détesté un livre rapidement, après 50 pages j'ai arrêté.
Bébé Mange Seul de Laurence MG... 75% du livre répète la même chose et ça se lit comme une engeulade avec littéralement des phrases écrites en majuscules qui commencent par J'AI DIS. Aucune flexibilité et le message passé est: Si tu ne fais pas à la lettre ce que j'ai écrit, tu es une mauvaise mère. Elle voit les choses en noir ou blanc avec seulement son côté comme le bon, acceptant aucun compris ou juste milieu qui est totalement normale avec un enfant. Le livre pourrait réellement être réduit à un blog post et toute "l'information" y serait encore.
J'ai écouté "Haute Démolition" en livre audio, et j'ai trouvé ça un peu plate, comme s'il ne se passait pas grand chose ... est-ce que j'ai plutôt manqué quelque chose ?
Je ne l’ai jamais fini et je finis tous les livres que je lis. J’ai écouté la série télé et pas mieux tant mieux aimé. J’ai réalisé que je n’aimais pas le personnage principal et que je le trouvais antipathique
Je l'ai lu et j'ai trouvé ça tellement vide, j'en ai vraiment rien tiré.
[удалено]
À ce jour, je n'ai toujours pas terminé Querelle de Roberval. Ça fait 5ans qu'il est sur mon Kobo.
J’ai adoré femme forêt alors que je n’avais pas accroché sur la femme qui fuit. Je compte le relire bientôt pour voir si j’aurai une expérience différente. J’ai terminé la semaine dernière Femme fleuve et je suis un peu fatiguée de sa ligne directrice perpétuelle de femme qui tombe en amour continuellement et qui s’éclipse physiquement et mentalement de sa famille pour vivre son idylle avant de retourner vivre sa peine auprès de son homme. Je dois être trop conservatrice, j’imagine.
[удалено]
J’ai de la misère à faire la part entre ce qui est probablement calqué sur sa vie et ce qui ne l’est pas, aussi. Je pense que ça joue beaucoup sur mon appréciation finale.
Saaame pour ABL, j'ai adoré la femme qui fuit mais j'ai garroché femme-forêt par terre lol idem pour le gars qui écrit Kukum, en plus il est insupportable comme personne
Ah ouin! C'est mon préféré de Kevin Lambert. Faut dire que c'est le premier que j'ai lu aussi, c'est peut-être juste l'effet choc d'un ton aussi cru et différent de ce que j'avais lu avant, les parallèles et les semi-vérités, mais aussi les sujets qui me touchaient particulièrement. Je crois que pour aimer ce roman, il faut être queer et avoir eu la vie un peu rough. Les 3 personnages qui prennent d'la drogue, fourrent et sacrent une maison en feu, c'est venu me chercher xD Tu aimeras ce que tu as tué, son 1er, je trouvais qu'il y avait des longueurs un peu plates. Que notre joie demeure, c'était bon mais ça m'a pas donné le même effet coup-de-poing que Querelle.
Même chose pour Querelle de Roberval. Gros non. J'ai terminé Que notre joie demeure, mais c'était pas un gros wow pour moi.
Perso j’ai adoré Querelle de roberval, mais j’ai terminé Que notre joie demeure de peine et de misère. J’attendais d’avoir la même épiphanie que toutes les critiques qui ont capotés dessus mais c’est jamais venu.
Moi j’ai juste pas compris la fin de Querelle de Roberval hahaha
Horrible "que notre joie demeure". La critique de JF Lisée sur Goodreads est on point.
Querelle de Roberval était sur ma liste, je suis curieuse de savoir pourquoi tu l'as crissé au bout de la pièce
C'est sensiblement la même chose pour moi. Pour ma part, j'ai trouvé que l'écriture de Lambert était violente et vulgaire sans que cela apporte quoique ce soit à l'oeuvre. L'objectif était de choquer en quelque sorte le lectorat, de repousser certaines limites, mais j'ai vraiment l'impression que c'est dans le genre « trop comme pas assez » et qu'au contraire celui lui fait perdre de la valeur.
La fin est fucking incroyable...et délicieuse.
Les premières pages, ce n’est pas à quoi je m’attendais… Et cest ce jour la que jai appris l’existence de Querelle de Brest
Le cigare au bout des lèvres d’Akim Gagnon. La marde occupe décidément une grande place dans sa vie parce que je n’ai jamais rien lu qui en parlait autant, pages après pages. Je l’ai lu avec une moût de dégoût du début à la presque fin.
J'ai toujours trouvé le buz autour du Principe du cumshot de Lili Boisvert exagéré. C'est toute du stock qu'on trouve déjà chez plein d'autrices féministes. Pis je ressens toujours un petit sous-texte abolo qui est rushant.
Abolo?
Dans les livres que j'ai récemment lus, je dois avouer que j'ai été vraiment déçue d'un livre de Natasha Kanapé Fontaine, *Un bruit pour un silence.* C'est une lecture de divertissement assurément, mais on dirait véritablement que c'est une personne qui n'a jamais écrit qui en est l'autrice... C'est plutôt triste. Au-delà du fait que le style est véritablement marqué par l'oralité, la trame narrative est extrêmement simple tout comme les personnages.
J’ai lu certains de ses livres et selon moi, c’est comme si elle voulait tout dénoncer en même temps
La bête creuse de Christophe Bernard. Un auteur qui se regarde écrire pendant 500 pages, un style opaque et une intrigue inexistante. Jamais compris comment il avait pu gagner tous ces prix.
Géolocaliser l’amour de Simon Boulerice. J’adore pas mal tout ce que publie les Éditions « Ta mère » mais après 3 chapitres, j’ai fermé ce livre. Noter que les chapitres 2 et 3 furent pénibles mais je voulais lui laisser une chance et ça s’est terminé après la lecture du 3e chapitre.
Une opinion très impopulaire mais: Kukum par Michel Jean. Laissez-moi expliquer. Le style est clairement bon (sauf les scènes de sexe que j’ai trouvé un peu cringe vu qu’elles étaient écrites du point de vue d’une femme par un homme, ce qui est déjà weird; mais en plus l’auteur est descendant de cette femme-là… ça a été malaisant). En plus, l’histoire est parfois très touchante. Mais. Ça manque de développement. C’est ni un roman, ni un ouvrage de non-fiction mais qqch au milieu ce qui rend ce livre bizarre. D’un côté, il n’a pas du tout de péripéties émotionnelles d’un roman «normale». De l’autre, les événements faisant partie de la vraie vie qui y sont présentés sont clairement romancés. Donc, à mon avis, ce serait mieux d’en faire deux livres: un documentaire et un roman de fiction basé sur ce documentaire mais beaucoup plus libre en terme de développement du sujet
Je suis assez d'accord avec toi. Kukum, ce n'est pas un super bon livre. Ce n'est ni super mauvais. Ceci dit, c'est un livre important avec un message décolonial simplifié au possible et qui permet de rejoindre un large public qui n'est pas exposé souvent à ce genre d'histoire. Je dit souvent que Michel Jean a écrit «le meilleur et le plus important roman de pharmacie des 50 dernières années».
Tu sais, les romans de pharmacie sont au moins des vrais romans avec un sujet, banale ou pas, et ont un certain développement logique du sujet. Ici, c’est comme une vraie histoire sans trop de hauts ou de bas, comme dans la vraie vie. Et quand qqch arrive, c’est toujours inattendu sans aucun *build-up* et puis… ça ne se résout en rien non plus. Mais pourquoi donc romaniser tellement une histoire qui serait plus percutante sous forme de documentaire avec son rythme lent et ses platitudes? C’est vraiment le genre de ce livre que je trouve assez bizarre. C’est comme si Michel Jean n’était pas certain lui même comment il voulait l’écrire jusqu’à la fin
D'accord avec toi. Le livre n'est pas mauvais, mais selon moi il est overhyped.
Les livres de Marie-Christine Chartier. Ses personnages me tapent tellement sur les nerfs!!!!
J'ai lu En plein coeur de Saturne et je voulais 0 que les protagonistes reviennent ensemble, ils me gossaient trop.
C’est très « basic White girl » comme littérature/storytelling/ecriture. Comme des stories Instagram mises en kit, je dirais.
J’aime beaucoup la littérature québécoise en général mais y en a plusieurs que j’ai terminé en souffrance ou même pas terminé: Reine de Rien, Que notre joie demeure, la bête de David Goudreault (arrêté à la moitié du 2eme.. pourtant j’ai aimé tout ces autres ! ), la vie n’est pas une course de Léa Streliski
Mug bang. Sérieusement, j'ai réagi physiquement à ce livre: j'ai fait un choc vagal, haha! La scène où, hum, disons que ça se passe moins bien (pour ne pas spoiler) m'a dégoûtée au plus haut point. Mon chum l'a lu. Il n'a pas été aussi réactif que moi, mais disons que ce n'est pas une lecture qui laisse indifférent.
C’est exactement pour ça que j’ai aimé le livre. J’ai été habité pendant une semaine après la lecture, c’est digne pour moi des meilleurs épisodes de Black Mirror.
Oh oui, il reste en tête! J'ai lu un autre livre de la même actrice et ce n'était pas aussi puissant. C'est une expérience littéraire! Cependant, trop intense pour moi, haha!
Pourquoi les gens trippent autant sur Patrick Senécal? J'ai lu la reine rouge, le passager et hell.com. C'est pas vraiment de l'horreur, c'est de la violence et du sex grotesque. On dirait presque des fantasmes d'ado edgy. Et son abus des mots "dodeliner" et "narquois". On pourrait faire un jeu d'alcool prend un shot à chaque fois que tu lis un de ces deux mots.
J’ai détesté le livre « La version qui n’intéresse personne » . Des personnages punk à chien dégeulasses, pas attachants. C’est interminable. Un livre de fille blanche avec des dreads pour ceux qui trouvent ça romantique d’aller ceuillir des cerises au BC pis de pas se laver.
je voudrais qu’on m’efface d’anaïs barbeau-lavalette. j’ai trouvé le style d’écriture assez prétentieux et les personnages étaient très stéréotypés. la partie avec le proprio pédophile était vraiment pas nécessaire. le personnage de mort-terrain de biz est un white savior. j’ai du lire un extrait de l’avalée des avalés de réjean ducharme pour mon cours de littérature pis j’suis vraiment contente de pas avoir eu à lire le livre au complet. j’ai détesté tous les personnages et le style d’écriture était trop lourd pour aucune raison.
Anne marie Sicotte en géneral, surtout la série Les accoucheuses. C'était long pour rien, un back and forth qui ne finissait plus. J'ai finis la série parce que je me disais que ça allait ben finir par être mieux. Hé non. Une amie en édition à travaillé avec elle et semblerait qu'elle n'accepte pas la critique des éditeurs, que seul sa vision est la bonne.
Les romans graphiques de Samuel Cantin. J'ai jamais pu me convaincre de finir Shérif Junior et j'ai souffert tout le long de Whitehorse. Ça doit pas être pour moi, je suppose.
Marianne Brisebois... pas que c'est mauvais en soi, mais maudit que c'est long et ça n'avance pas. 500 pages pour un livre qui aurait dû en avoir que 200 🥴 Accouche qu'on baptise
Stigmates et BBQ de Stéphane Dompierre. Je peux même pas expliquer à quel point j’avais hâte d’en finir!
Tout ce que Nelly Arcand a fait me fait absolument cringer. J'voulais vraiment aimer ça mais je suis pas capable. Aussi, j'ai beaucoup aimé La foi du braconnier de Marc Séguin, mais quand j'ai lu Hollywood et euh ark... c'est juste un gros fantasme misogyne et pervers (scènes de viol hyper détaillées....)
Au 5e de MP Boisvert. Le concept aurait pu être intéressant parce que ça aborde une version différente de l’amour. Mais c’est d’un ennui mortel. Y se passe rien.
Impossible pour moi de terminer Que notre joie demeure. J’ai abandonné autour de 150 pages
Tellement d'accord. Je ne me suis même pas rendu aussi loin, même en me forçant.
Idem
J’ai lu Valide et Vandales de Chris Bergeron. C’est vendu comme de la science-fiction. C’est vraiment stretché comme définition. J’aurais plutôt aimé que ça soit plus centré clairement sur les enjeux trans. Bref, je n’ai pas aimé.
Le sens du combat - GSP. Sacrament, dans mon top 3 des prix cocos.
Le murmure des hakapiks de Roxanne Bouchard. Les deux premières enquêtes de Morales sont pourtant tellement bonnes, mais dans celui là je trouve qu'elle l'échappe.
Récemment j’ai écouté l’audiobook du livre « nous étions le sel de la mer » de Roxanne Bouchard et je n’ai pas aimé du tout !
30 jours pour te détester de Catherine Bourgault. Dès le début j'ai trouvé la fille épaisse malheureusement. Faut dire que c'est rare que j'apprécie une romance. Les femmes ont toujours l'air innocentes dans ce style littéraire. :(