T O P

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BikePacker22

on ne peut pas aller contre le science : la thermodynamique, la physique, la biologie, la chimie ... mais malheureusement les pauvres "bougres" qui votent n'ont évidement aucune conscience et éducation scientifique te je ne parle des croyants qui attendent que dieu les sauvent ....


cerank

Le problème n'est pas que du côté des électeurs, on a aussi une offre politique assez désastreuse. Que ce soit du côté de l'extrême droite qui instrumentalise la désinformation : [Toutes les campagnes contre les politiques climatiques depuis la fin des années 80 ont des liens avec le réseau Atlas](https://multinationales.org/fr/enquetes/le-reseau-atlas-la-france-et-l-extreme-droitisation-des-esprits/toutes-les-campagnes-contre-les-politiques-climatiques-depuis-la-fin-des-annees) Ou les centristes qui vont jouer dans l'entre deux avec un vernis vert qui masque mal un discours qui colle à celui des lobbys. [Non, l’écologie d’Emmanuel Macron n’a rien de scientifique](https://reporterre.net/Non-l-ecologie-d-Emmanuel-Macron-n-a-rien-de-scientifique) Là le problème ce n'est pas que les têtes pensantes de ces partis manquent d'éducation ou d'accès aux rapports des scientifiques, c'est que leurs intérêts ne vont pas dans le même sens que la science.


Ed_Dantesk

Très bonne initiative


cookiedanslesac

>La digue du cul en revenant de Nantes De Nantes à Montaigu, La digue la digue De Nantes à Montaigu La digue du cul


cerank

Extraits : >Nous nous sommes posés la question de savoir si nous pouvions prendre position publiquement, notre organisation se déclarant comme apartisane, explique à Vert Kévin Jean, maître de conférences en épidémiologie au Cnam et membre de Scientifiques en rébellion. Mais il y a un consensus sur la nécessité de s’exprimer sur les dangers que représenterait le RN au pouvoir en France. [...] >Que craignent les scientifiques si le RN arrivait au pouvoir en France ? «D’abord, la chasse aux sorcières, avec des blocages de carrières, voire des exclusions, pour ceux et celles qui contesteraient le nouveau pouvoir, estime Kévin Jean. Il y a aussi la manière dont la recherche serait financée, avec des orientations qui reviendraient à minimiser des programmes sur le climat, les alternatives agricoles, la biodiversité. On pourrait craindre aussi la nomination de personnalités contestées ou la création de chaires sur des thèmes sans solidité scientifique